Lente progression
Le risque de présenter des problèmes psychiatriques
augmente avec l’accumulation de lésions dans le cerveau
Au tout premier stade, classé 0 sur l’échelle de Braak, les premières lésions (zones en rose) apparaissent sur le tronc cérébral. Il n’y a pas de symptômes
Les lésions s’intensifient dans un noyau (flèche) du tronc cérébral et atteignent le cortex (cercle) dans les stades 1 et 2. Le risque de dépression, d’anxiété et d’agitation augmente
Gravité des lésions
SOURCES LEA T. GRINBERG LAB/ UCSF
Les lésions s’intensifient dans un noyau (flèche) du tronc cérébral et atteignent le cortex (cercle) dans les stades 1 et 2. Le risque de dépression, d’anxiété et d’agitation augmente
Les lésions s’aggravent sur le tronc cérébral aux stades 3 et 4. Elles progressent aussi au niveau du cortex. Le risque de dépression, d’anxiété et d’agitation reste élevé. Les problèmes de mémoire surgissent
Aux stades 5 et 6, il y a mort cellulaire (zones sombres) au niveau du tronc cérébral et les lésions envahissent le cortex. La mémoire, la coordination et la perception du milieu sont compromises. Présence de délires et hallucinations
Lente progression
Le risque de présenter des problèmes psychiatriques augmente avec l’accumulation de lésions dans le cerveau
Gravité des lésions
Au tout premier stade, classé 0 sur l’échelle de Braak, les premières lésions (zones en rose) apparaissent sur le tronc cérébral. Il n’y a pas de symptômes
Les lésions s’intensifient dans un noyau (flèche) du tronc cérébral et atteignent le cortex (cercle) dans les stades 1 et 2. Le risque de dépression, d’anxiété et d’agitation augmente
Les lésions s’aggravent sur le tronc cérébral aux stades 3 et 4. Elles progressent aussi au niveau du cortex. Le risque de dépression, d’anxiété et d’agitation reste élevé. Les problèmes de mémoire surgissent
Aux stades 5 et 6, il y a mort cellulaire (zones sombres) au niveau du tronc cérébral et les lésions envahissent le cortex. La mémoire, la coordination et la perception du milieu sont compromises. Présence de délires et hallucinations
SOURCES LEA T. GRINBERG LAB/ UCSF